Rhinoclemmyde peinte:

   
     Cette tortue est une espèce aquatique vivant en Amérique centrale, le Costa Rica ainsi que le Nicaragua. Cette espèce de grande taille est maintenue dans un aquaterrarium. Elle se rend régulièrement dans la partie aquatique où ont généralement lieu les accouplements. Veillez à lui fournir des cachettes obscures dans la partie terrestres. Son régime alimentaire naturel se compose principalement de végétaux. En captivité, elle accepte tous les aliments qui lui sont présentés y compris la viande, les souriceaux, le poisson... Les animaux ont tendance à se nourrir abondamment. Attention à ne pas les suralimenter avec des aliments trop riches en protéines.


Cette tortue possède une robe gris foncé avec des nuances verdâtres, à brun olivâtre. Elle arbore des dessins tortueux colorés de rouge et d'orange sur la tête, le cou et la bordure interne de la carapace ; bordure d'ailleurs légèrement relevée.



            Aux sujet de la reproduction, la femelle dépose de 2 à 4 œufs sous un tas de végétaux humide. Ils mesurent de 43 à 45,8 mm de long pour une largeur comprise entre 26 et 30,4 mm et un poids de 23 à 24 g. Les nouveaux-nés mesurent de 38 à 40,9 mm de long pour une largeur de 26 à 30,4 mm et un poids oscillant de 15 à 17 g.

Enfin si vous voulez en savoir d'avantage je vous invite à aller voir la vidéo à son sujet...

L'Emydure à ventre rouge:

     Tortue aquatique provenant d'Australie, de Nouvelle-Guinée, vivant dans des rivière et lacs. Emydura subglobosa est caractérisé par une dossière brune plus ou moins foncée. Son plastron est rouge, rouge violacé, ou rose foncé, avec la plupart du temps le centre et la périphérie gris clair. Ses membres, son cou et sa queue sont gris avec des taches rose vif. Son menton est rose. Les côtés de sa tête s’ornent d’une tache temporale jaune qui part en pointe du museau et s’étend vers l’arrière en s’élargissant.





     Cette espèce prolifique se reproduit couramment en captivité. Son élevage ne présente pas de difficultés particulières. Excellente nageuse, l'émydure à ventre rouge bénéficie d'un bac caractérisé par une large partie aquatique et une plage d'insolation. Elle se nourrit aussi bien de végétaux (endives...) que d'aliments carnés (souriceaux...). C'est l'espèce de débutant par excellence: elle est colorée, vive, non agressive et active toute l'année.

Enfin à propos de la reproduction, la femelle dépose plusieurs pontes par an qui comprennent jusqu'à 11 oeufs. Leurs dimensions varient de 31 à 44 mm de long pour une largeur de 19 à 21,2 mm et un poids de 8 à 10 g.

Acquisition d'une tortue des Steppes:

Nouvelle tortue aux sein de l'élevage, elle est actuellement âgée de 7 ans et se porte très bien. Pour plus d'information à son sujet, n'hésitez pas d'aller regarder la vidéo...

Modifications de l'élevage des tortues des Steppes:

   

  

     Acquisition d'un socle en céramique imitant un claire de lune, ce socle permettra également d'envoyer, puis de capter les rayons que l'ampoule dégagera une fois le système mis en place.

 

     

    Cette ampoule "Reptile UVB 150" permettra d'apporter de la vitamine D3 à votre ou vos tortues, une vitamines essentiel au bon développement de la croissance chez les tortues.

     Afin d'en savoir plus, n'hésitez pas d'aller voir la vidéo...

La tortue charbonnière:

     La tortue charbonnière se rencontre dans le nord de l'Amérique du Sud, de l'ouest du Brésil et de la Bolivie au Venezuela et au Paraguay. Elle est également présente dans les Caraïbes et certaines îles au large du Panama et du Nicaragua. Sa présence à l'extérieur de l'Amérique du Sud semble due à l'homme. Cette espèce est souvent mentionnée sous son ancien nom scientifique, Geochelone carbonnaria.




     La tortue charbonnière présente généralement une dossière noire marquée de taches jaunes au niveau de chaque aréole, la tête se caractérise par de larges et abondantes taches jaunes ou orangées sur fond noirâtre. Le mâle de cette espèce, outre la concavité très apparente du plastron, présente une dossière resserré en son milieu, lui conférant un aspect de sablier. Espèce confinée aux savanes, Chelonoidis carbonaria s'aventure en lisière de forêt durant la saison sèche pour y rechercher un peu de fraîcheur. Elle n'hésite pas à visiter les plaines inondées surtout lors d'averses tropicale soudaines.

  
N'hésitez pas si vous le souhaitez d'aller regarder la vidéo sur la tortue charbonnière...

La tortue de Floride:

     Aux Etats-Unis, parmi les tortues dites " de Floride ", la sous espèce la plus répandue en captivité est la trachémyde à tempes rouges (trachemys scripta elegans).

     Cette tortue vert olive à la carapace moyennement bombée ornée de motifs, à la face et aux pattes striées de rayures jaunes et vertes, se caractérise par des taches rouges sur les tempes. De taille moyenne à grande, les femelles mesurent plus de 30 cm une fois adultes alors que les mâles, plus petits, se reconnaissent aux longues griffes de leurs pattes antérieurs. Malheureusement cette tortue a créé quelques petit incident aux sein de notre écosystème Français, pour plus d'information n'hésitez pas de regarder la vidéo.

La reproduction des tortues terrestres:

     Comme la grande majorité des reptiles, les tortues sont ovipares. La femelle dépose ses œufs dans un trou peu profond, creusé dans la terre à l'aide de ses pattes arrière. Le soleil est la source de chaleur qui assure l'incubation des œufs jusqu'à leur éclosion. L'incubation des œufs dure généralement entre deux et trois mois.














     Chez les espèces méditerranéennes, la période post-hivernale est marquée avant tout par une double activité: La thermorégulation et la recherche de nourriture. L'activité sexuelle débutée après avoir emmagasiné une énergie suffisante.

     Dans la nature, les mâles et les femelles vivent en solitaires et ne se rencontrent que pour l'accouplement. Le mâle au sortir de l'hiver, sa première activité est de chercher une femelle et d'essayer de se reproduire.

La parade nuptiale comprend des morsures et des chocs de carapace qui, s'ils ne posent pas de problème dans la nature (la femelle peut fuir), peuvent causer de graves blessures à la femelle en captivité. La femelle peut s'accoupler avec plusieurs mâles durant la même saison et elle gardera le sperme intact durant 4 à 5 ans dans les replis de son appareil reproducteur.

Ainsi, même si elle ne s'accouple pas l'année suivante, elle garde le pouvoir de pondre des œufs fécondés.  Le mâle après avoir satisfait sa libido, se calme et finit par se restaurer. Bien alimenté, il reprend des forces et son intérêt pour les femelles se manifeste de nouveau jusqu'à fin mai.

      

     La ponte chez les tortues graeca est précédée de signes avant-coureurs. La femelle tourne sur des hypothétiques lieux de ponte avant de creuser le véritable nid. Elle se conduit comme un mâle et mime l’accouplement sur d’autres congénères. Elles pondent le plus souvent en fin de matinée ou en fin de soirée. La femelle choisit d’abord avec beaucoup de soin un lieu approprié où elle creusera son nid.

    

      Il faut en effet que cet endroit soit à la bonne température et avec un degré d’humidité approprié (zone de ponte, butte). Quand le moment est venu de pondre, la tortue se positionne dos au soleil et creuse avec ses pattes arrière une petite cavité de 6 à 10 cm de profondeur. On voit sa queue s'immobiliser et un bel œuf blanc légèrement ovale de 25 à 30 mm de long, apparaît et glisse rapidement au fond du nid, guidé par les pattes arrière. Le deuxième arrive presque immédiatement. Une fois le travail terminé, toujours avec ses pattes arrière, la tortue entasse des brindilles, de la terre, et des feuilles pour en boucher la cavité. Pendant toute la période de la ponte, la mère ne doit pas être dérangée car elle risquerait de s'interrompre et d'abandonner le nid avant d'avoir pondu.

    

      En captivité, l'absence d'endroit approprié pour pondre peut provoquer des problèmes de rétention et être à l'origine de maladies graves pour la mère. On compte six œufs en moyenne par ponte et deux pontes dans l'année. Exceptionnellement il peut y avoir une troisième.                                                             
               

     Dans notre région la température extérieure n’est pas suffisante pour permettre des naissances. Il faut donc  avoir recourt à un incubateur.

L'incubation:

C'est la température qui va déterminer le sexe des animaux :

- en dessous de 27°C : mort de l'embryon,
- 27°/29°C : que des mâles,
- 30°/31°C : moitié/moitié,
- 31°/33°C : que des femelles,

- au dessus de 33°C : mort de l'embryon.

Si vous souhaitez en savoir d'avantage, notamment au sujet des différent comportement durant l'accouplement, n'hésitez pas à aller voir la vidéo...